Seule, Géorgie – Prélude

En présence de Bernard Eisenschitz (traducteur et historien du cinéma, il est pour la version française le narrateur de Seule, Géorgie, pour lequel il a collaboré au commentaire).

« Nous allons vous parler de la Géorgie, son art, ses traditions, son passé. Nous allons vous raconter la sombre période bolchévique qui a directement produit le drame actuel. Depuis presque deux siècles, cette nation a été isolée de l’Europe. […] Nous allons faire connaître l’histoire et la culture de ce pays que nous aimons, dont nous sommes fiers, dont parfois nous avons honte. » (voix off prononcée par Otar Iosseliani dans le prologue du film)

L’histoire mouvementée de la Géorgie à travers des documents filmés et des extraits de films. Cette fresque présentée en trois parties est née dans le cadre de soirées Thema de la chaîne Arte préparées et conçues par Otar Iosseliani, alors que la disparition de l’URSS entraîne une déstabilisation du pays, des luttes d’influence et des formes de séparatisme.