Le 29 juin 1941, les résidents juifs de la ville de Iasi ont été rassemblés et battus, des magasins et des maisons ont été pillés et la plupart des hommes ont été abattus ou entassés dans des trains, où ils sont morts plus tard asphyxiés. Alors que les Allemands ont pris part au pogrom, la majorité des auteurs étaient des policiers roumains, des officiers militaires et des civils. Comment un film peut-il traiter de ce crime ? Par la répétition, l’accumulation et la variation, les cinéastes rendent tangible l’ampleur de l’atrocité, laissent émerger des nuances et concrétisent le nombre de victimes.
Séance en partenariat avec l’Ambassade de Roumanie à Paris et l’Institut culturel roumain
Le 29 juin 1941, les résidents juifs de la ville de Iasi ont été rassemblés et battus, des magasins et des maisons ont été pillés et la plupart des hommes ont été abattus ou entassés dans des trains, où ils sont morts plus tard asphyxiés. Alors que les Allemands ont pris part au pogrom, la majorité des auteurs étaient des policiers roumains, des officiers militaires et des civils. Comment un film peut-il traiter de ce crime ? Par la répétition, l’accumulation et la variation, les cinéastes rendent tangible l’ampleur de l’atrocité, laissent émerger des nuances et concrétisent le nombre de victimes.
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Programme
Avec le soutien de l’Ambassade de Roumanie à Paris et de l’Institut culturel roumain