Sept pièces pour cinéma noir et blanc
de Otar Iosseliani
00h17min, France, 1982
Avant de venir en France, on m’avait dit que les Français étaient très fermés, mesquins. Je ne le pense pas. Je suis entouré de gens généreux que votre pays m’a donné comme amis, comme proches. Ce petit film que vous allez voir est inspiré par l’amour que j’éprouve pour eux. (Otar Iosseliani, extrait du commentaire du film)
Euskadi
de Otar Iosseliani
00h55min, France, 1982
Les préparatifs et la fête pastorale à Pagolle au Pays Basque : chants, danses, gestes et corps d’une culture très vivace sont captés avec minutie et attention. Il est évident que le cinéaste reconnaît dans ce confins de France quelque chose des vallées et cimes de la Géorgie dont il s’est exilé.
Vieilles chansons géorgiennes
de Otar Iosseliani
USSR, 1968
Un chant d’amour du cinéaste dédié à la culture populaire géorgienne : choeurs et musiques mais aussi artisanat. Otar Iosseliani réalise ici, avec le lyrisme qui lui est propre, ce qu’Artavazd Péléchian fera pour l’Arménie avec Les Saisons en 1975.