Un mage itinérant fait rire et pleurer les badauds afin d’en tirer sa subsistance.
« Je me suis adressé à Pier Paolo Pasolini et j’ai appris qu’il existait des versets populaires calabrais qui se réfèrent explicitement au personnage que j’avais invoqué. Lorsque Pasolini a adapté le texte aux temps, aux rythmes et aux situations du récit, nous avons découvert qu’il n’y avait pas lieu d’enlever ou d’ajouter un seul mot. » (Mario Gallo).
Il Mago
de Mario Gallo
00h11min, Italie, 1958
Un mage itinérant fait rire et pleurer les badauds afin d’en tirer sa subsistance.
« Je me suis adressé à Pier Paolo Pasolini et j’ai appris qu’il existait des versets populaires calabrais qui se réfèrent explicitement au personnage que j’avais invoqué. Lorsque Pasolini a adapté le texte aux temps, aux rythmes et aux situations du récit, nous avons découvert qu’il n’y avait pas lieu d’enlever ou d’ajouter un seul mot. » (Mario Gallo).
Étrangers à la ville
de Cecilia Mangini
00h11min, Italie, 1958
Une évocation des borgate de Rome, ces quartiers qui naissent de l’expansion et des mutations urbaines. Des jeunes gens s’énervent, traînent, s’agitent, rapinent, jouent ; Pasolini signe le commentaire de ce film directement inspiré de son roman Les Ragazzi (1955).
Comizi d'amore '80 (épisode 1)
de Lino Del Fra, Cecilia Mangini, Cecilia Mangini
01h02min, Italie, 1983
Un peu moins de 20 ans après l’emblématique Comizi d’amore (traduit Enquête sur la sexualité en France), Cecilia Mangini et Lino Del Fra reprennent le principe du film de Pasolini afin d’en tourner une version des années 1980. Truculent, passionnant et profond, ce premier épisode se met à l’écoute des rapports entre la jeunesse et le sexe.