Projection

Les Porteurs d’ombres électriques / Anou Banou,les filles de l’utopie
Mois du film documentaire 2015

Appartient au cycle : Nurith Aviv, filiations, langues, lieux

image du film Anou Banou, les filles de l'utopie d'Edna Politi
Anou Banou, les filles de l'utopie d'Edna Politi
Infos

Le 22/11/2015
à 17h00

Cinéma 2

Centre Pompidou
Place Georges-Pompidou
75004 Paris

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Accès libre sous réserve des places disponibles

 
Entrée payante 

Plein tarif : 4€
Tarif réduit : 2 €
Gratuit sur présentation du laissez-passer du Centre Pompidou
 

Contacts

Conception et organisation
Florence Verdeille
Service Cinéma de la Bpi
01 44 78 44 52
florence.verdeille@bpi.fr

Communication
contact.communication@bpi.fr
 

Présentation : Edna Politi, Hervé et Renaud Cohen

Programme

Les Porteurs d’ombres électriques, de d’Hervé et Renaud Cohen, France, 1993, 26′
Dans un petit village du Shichuan, province du centre ouest de la Chine, trois jeunes gens s’occupent d’une petite boutique de location de films. Avec leurs bobines et leur projecteur, ils sillonnent les campagnes et vont de village en village pour projeter des films aux paysans. Hervé et Renaud Cohen signent un documentaire en forme de promenade dans la Chine rurale en compagnie de ces trois projectionnistes qui à leur manière perpétue la tradition du cinéma populaire en le montrant dans les campagnes chinoises.

Anou Banou, les filles de l’utopie, d’Edna Politi, Allemagne, 1983, 83′
Anou Banou, en hébreux « construire le pays en se construisant elle-même », raconte l’histoire de six femmes, Emma, Yetka, Yehudit, Mita, Pnina et Rachel, toutes nées au début du siècle du XXème siècle en Russie ou en Pologne. Au début des années 20, elles ont quitté leur terre natale pour s’installer en Palestine, elles sont jeunes et ont la tête pleine d’espoir et de rêves, elles vont travailler à reconstruire le pays, vont pour cela fonder un des premiers kibboutzim. Edna Politi les a rencontré soixante ans plus tard, elles lui racontent leur histoire et leur lutte, elles se souviennent de leur rêve de changer le monde, de ce à quoi elles aspiraient, de ce qu’elles ont accompli.

Une minute pour une image, d’Agnès Varda, 1983

 

Publié le 07/09/2015 - CC BY-SA 4.0