Peter Nestler consacre son film “La Mort et le diable” (Tod und Teufel) à son grand-père maternel, le comte Eric von Rosen, célèbre ethnographe et explorateur suédois. À chaque voyage, il étudie les populations rencontrées, collecte les objets significatifs, recueille des notes précieuses et rapporte des clichés magnifiques. Pourquoi ce titre ? La mort, c’est celle qu’il donne au gibier avec son fusil de chasse. Le diable, c’est Hermann Goering, mari de sa belle-sœur, c’est aussi plus généralement le national-socialisme, dont il rejoint les rangs lorsqu’il soutient la contre-révolution en Finlande.
Peter Nestler consacre son film “La Mort et le diable” (Tod und Teufel) à son grand-père maternel, le comte Eric von Rosen, célèbre ethnographe et explorateur suédois. À chaque voyage, il étudie les populations rencontrées, collecte les objets significatifs, recueille des notes précieuses et rapporte des clichés magnifiques. Pourquoi ce titre ? La mort, c’est celle qu’il donne au gibier avec son fusil de chasse. Le diable, c’est Hermann Goering, mari de sa belle-sœur, c’est aussi plus généralement le national-socialisme, dont il rejoint les rangs lorsqu’il soutient la contre-révolution en Finlande.