Doc en courts 2018

Appartient au cycle : Du court, toujours

homme sur un plongeoir, image extraite du film Hopptornet
Hopptornet © Maximilien Van Aertryck & Axel Danielson
Infos

Le 09/03/2018
à 20h00

Cinéma 2

Centre Pompidou
Place Georges-Pompidou
75004 Paris

Voir sur une carte

Plein tarif 5 € / Tarif réduit 3 €

Entrée payante dans la limite des places disponibles

Plein tarif : 4€
Tarif réduit : 2€
Gratuit pour les adhérents du Centre Pompidou dans la limite des places réservées (selon conditions particulières)

Acheter en ligne

Retrouvez cet événement sur

Le court métrage est une forme à part entière, souple, originale dans son approche formelle. Il est aussi l’incubateur des nouveaux talents.
Les quatre films proposés ce soir ont été primés à la 17ème édition du festival de films documentaires de court métrage de Lyon, Doc en courts.

 

Programme

Projection des quatre courts métrages primés :

Hopptornet, de Maximilien Van Aertryck et Axel Danielson, Suède, 2016, couleur, 17 min
Un plongeoir de dix mètres de haut. Sauter ou ne pas sauter. Une étude expérimentale et divertissante de nos délibérations intérieures au moment fatidique!
(Prix du public)

Find Fix Finish, de Sylvain Cruiziat et Mila Zhlukthenko, Allemagne, 2017, couleur, 20 min
Des « opérateurs » américains témoignent en voix-off de leur expérience, sur des images qu’ils auraient pu tourner eux-mêmes, de pilotage de drones militaires dans le but de « trouver, cibler, éliminer ».
(Mention au Prix Graine de doc)

NO’I, de Aline Magrez, Belgique / Vietnam, 2017, couleur, 22 min
Des câbles s’enchevêtrent, des fils se tissent, des rails coupent la ville. Des corps, des photos, des autels, des machines, des regards. Un portrait par petites touches d’une rue de Hanoï.
(Prix Graine de doc)

La Nuit appartient aux enfants, de François Zabaleta, France, 2017, couleur, 27 min
Aussi loin que je me souvienne je n’ai jamais eu faim. Ainsi commence le récit autobiographique d’un homme (le cinéaste lui-même) qui raconte, tout à la fois l’anorexie mentale dont il a souffert enfant puis adolescent, et le rapport souvent difficile qu’il continue, adulte, d’entretenir avec la nourriture.
(Grand prix)

Avec Jacques Gerstenkorn, directeur du festival, et les réalisateurs de films primés.

Logo Cinémathèque du documentaire

Publié le 19/01/2018 - CC BY-SA 4.0