Projection
Courts métrages
Appartient au cycle : Corps filmés
Le 09/06/2016
à 20h00
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Conception et organisation
Florence Verdeille
Service Cinéma de la Bpi
01 44 78 44 52
florence.verdeille@bpi.fr
Communication
contact.communication@bpi.fr
Pour la dernière soirée du cycle “Corps filmés”, une séance spéciale courts métrages avec la projection de 4 films aux sujets variés et insolites.
Les réalisateurs seront présents pour une rencontre après la projection, animée par Jacques Kermabon, rédacteur en chef de la revue Bref.
Quelque chose des hommes, de Stéphane Mercurio, France, 2015, 27’
Production et distribution : Iskra
Un film impressionniste, fait de corps, de gestes, de récits de la relation des hommes à la paternité et à la filiation. Seule femme, la cinéaste s’est glissée avec sa caméra dans l’intimité de ces hommes au cours des séances de prises de vue « Père et Fils » du photographe Grégoire Korganow, pour saisir quelque chose des hommes. Mission impossible, et pourtant…
Peau neuve, de Clara Elalouf, France, 2009, 13’
Production : Sacrebleu productions / Distribution : Agence du court-métrage
Aujourd’hui, beaucoup d’hommes et de femmes poussent la porte des bains douches municipaux. Certains par nécessité, ceux-là n’ont pas de douche chez eux. Et puis d’autres, qui ont une douche, préfèrent venir se laver dans cet endroit public. Des moments du corps qui passent par des rituels différents selon son sexe, ses origines, ses obsessions. Du rasage à l’étalement d’une crème sur son corps ou le reflet de son image dans le miroir. Parfois juste des regards “lavés” qui attendent on ne sait quoi… Comme une espèce de bistrot du corps…
Les mains, de Christophe Loizillon, France, 1996, 20’
Production : Agat films / Ditribution : Agence du court-métrage
Cinq personnes se racontent à travers leurs mains.
Corps provisoire, de Djamila Daddi-Addoun, France, 2012, 10’50’’
Production : G.R.E.C. / Distribution : Agence du court-métrage
Seule dans une pièce, une boxeuse s’entraîne. Son corps est en partie plongé dans l’obscurité tandis que la lumière vient souligner un geste et révèle la recherche d’une posture.
Publié le 07/04/2016 - CC BY-SA 4.0