C’est à la manière ludique et savante dont Kossakovski utilise toutes les possibilités offertes par les mouvements de caméra (zooms, panoramiques), la vitesse des images (accélérés, effet stroboscopique) et les traitements du son (son ambiant, musique) que l’on perçoit la nature réelle et l’ambition du projet. Son sens aigu de l’observation, son attention aux moindres détails ont transformé l’enregistrement de ce qui se passait sous ses fenêtres, dans sa rue, en un théâtre où la société se donnerait à voir sur le mode de la comédie souvent, et parfois du drame. (Serge Meurant). La séance du vendredi 10 septembre est présentée par Nicolas Giuliani (réalisateur, éditeur chez Potemkine de l’édition française du film)
C’est à la manière ludique et savante dont Kossakovski utilise toutes les possibilités offertes par les mouvements de caméra (zooms, panoramiques), la vitesse des images (accélérés, effet stroboscopique) et les traitements du son (son ambiant, musique) que l’on perçoit la nature réelle et l’ambition du projet. Son sens aigu de l’observation, son attention aux moindres détails ont transformé l’enregistrement de ce qui se passait sous ses fenêtres, dans sa rue, en un théâtre où la société se donnerait à voir sur le mode de la comédie souvent, et parfois du drame. (Serge Meurant). La séance du vendredi 10 septembre est présentée par Nicolas Giuliani (réalisateur, éditeur chez Potemkine de l’édition française du film)
Programme
En présence de Nicolas Giuliani